Construction d’une maison durable et solide : 3 règles

Pour assurer qu’une maison soit durable et solide, il est important d’effectuer une construction qui suit les règles. Cela veut dire qu’il est impératif d’effectuer les travaux avec un parcours qui est soigneusement balisé par la loi ainsi que par les techniques de travaux imposées par les travaux publics. Ainsi, la maison répondra à toutes les exigences. Quelles sont ces règles ?

Travailler avec un professionnel de l’architecture

Pour avoir une maison durable et solide, il vaut mieux faire appel à un professionnel, notamment un architecte pour évaluer les besoins et concevoir les plans. D’ailleurs, recourir à ce professionnel est obligatoire si la maison à construire excède 150 m² sauf sur les surfaces agricoles. Celui-ci sera aussi apte à proposer les solutions adéquates en fonction de ses analyses. En effet, il propose ce qui est possible tout en optimisant les performances.
À part cela, cet architecte examine les conditions climatiques pour que le propriétaire de la maison en tire profit. En travaillant le projet, il peut utiliser les dernières techniques et connaissances en matière de construction. Il peut également optimiser l’espace, se pencher sur les questions d’aération et d’humidité. Le grand plus, c’est que le propriétaire de la demeure peut bénéficier d’un style esthétique personnalisé.

Faire une étude du sol et effectuer le terrassement

L’étude du sol est aussi une règle importante si on veut qu’une maison soit construite dans les normes. Dans cette phase, il faut impérativement considérer les risques sismiques ou les risques d’inondations qui sont une obligation comprise dans cette norme. En effet, il faut savoir que les données collectées lors de cette étude permettent d’adapter à la zone les travaux de terrassement effectués par les terrassiers comme l’entrepreneur Degraeuwe ainsi que les travaux de fondation. Si, par exemple, la maison va être construite sur une zone sismique, il est donc impératif que les fondations soient plus solides. Tandis que sur une zone souvent inondée, il se peut que les constructions soient limitées ou interdites.

Adapter la fondation au type de sol

La base d’une maison commence par ses fondations. En effet, une construction ne s’appuie pas directement sur la terre, mais elle s’appuie surtout sur cette fondation. Cependant, pour que la maison soit durable, c’est cette fondation qui doit se tenir au sol dur. Quel que soit le type de sol, c’est cette partie solide du terrain qu’on doit rechercher pour mettre en place la fondation. Comment la reconnaître ? Grâce à une sonde. En général, c’est à partir de l’étude du sol qu’on définit cette question de profondeur.
Une fois que la nature et la portance du sol sont déterminées, le professionnel peut choisir le type de fondation approprié à mettre en place. Toutefois, quoi qu’il opte, la fondation est toujours coulée en bétons armés. On en compte 3 sortes, dont :
– La semelle filante qui est une fondation se positionnant sous les murs porteurs. Elle est souvent utilisée pour une maison individuelle.
– La semelle isolée ou technique de plot qui se positionne sous les piliers du bâtiment.
– Le radier étant une plateforme maçonnée pour les grandes profondeurs.